Les symptômes de l’intoxication alimentaire et les moyens d’en guérir

La consommation de repas s’avère indispensable pour avoir une bonne santé.
En effet, en consommant des produits laitiers ainsi que des fruits et légumes, il est possible de renforcer votre système immunitaire et de le développer.
Toutefois, il y a des maladies d’origine alimentaire qui constituent de véritables problèmes.
La majorité d’entre elles sont causées suite à l’intoxication alimentaire.

L’intoxication alimentaire se produit généralement en cas de consommation d’aliments contenant des agents pathogènes ou des toxines.
Ces agents ne peuvent pas être détectés.
Ce sont des bactéries qui, sous certaines températures, peuvent se multiplier rapidement et former une nouvelle colonie de bactéries en quelques minutes. Malheureusement, les bactéries ne font pas (toujours) du bien à l’organisme.

L’intoxication alimentaire peut se manifester par divers symptômes en fonction de l’organisme de celui qui en est victime.
Chez certains, notamment les enfants et les personnes âgées, le système digestif ainsi que le système immunitaire, et même le système nerveux, sont considérablement affectés. En conséquence, la santé de la personne atteinte se détériore et elle peut rapidement tomber malade à cause des bactéries.

Il est donc important de prévenir l’intoxication alimentaire.
Pour cela, il existe différentes astuces que vous pouvez mettre en œuvre.
De plus, il convient d’éviter certains aliments qui sont susceptibles de renfermer des bactéries toxiques pour votre organisme.

• Quels sont ces aliments ?
• Quels sont les symptômes d’une intoxication ?
• Que faire quand on en est atteint ?

Voici les réponses à vos questions.

Qu’est-ce qu’une intoxication alimentaire ?

Encore connue sous le nom de toxi-infection alimentaire, l’intoxication alimentaire est une infection digestive. Elle se produit suite à la consommation récente d’aliments contaminés par des bactéries.
Cela dit, ce ne sont pas que les aliments qui sont concernés.
Des produits laitiers et l’eau peuvent aussi être à la base de l’intoxication, lorsqu’ils contiennent des parasites, des poisons, des virus et des métaux lourds.

Généralement, chez les enfants et les adultes, la consommation d’aliments inhabituels ou de produits avariés peut être à la base de l’intoxication. Il en est de même chez les personnes qui consomment des produits agricoles ou des viandes qui sont contaminés.
Dans tous les cas, l’intoxication alimentaire peut nuire à l’organisme, car elle entraine l’apparition de maladies d’origine alimentaire.

Qui peut avoir une intoxication alimentaire ?

Malheureusement, l’infection alimentaire n’épargne personne.
Cependant, certains sujets sont plus vulnérables que d’autres.
Par exemple, les personnes âgées peuvent plus facilement en être atteintes en raison de la fragilité de leur organisme.
Les micro-organismes qui se trouvent dans les aliments peuvent plus aisément avoir raison de leur système immunitaire.

Les personnes âgées ne sont pas les seules à pouvoir souffrir d’une intoxication alimentaire ; les femmes enceintes peuvent, elles aussi, en souffrir. Là encore, cette situation est due à la fragilité de leur organisme.
Enfin, les enfants, surtout ceux qui ont moins de 2 ans, peuvent souffrir d’une intoxication alimentaire.
Les nourrissons peuvent également en être victimes à cause de :

• La consommation de l’eau ou de lait cru souillé ou avarié ;
• La consommation d’aliments contaminés par la mère durant la période de l’allaitement.

Quoi qu’il en soit, quel que soit l’âge d’une personne, qu’elle soit un nourrisson ou non, les chances qu’elle souffre d’une intoxication alimentaire augmentent lorsqu’elle consomme un produit alimentaire toxique contenant des bactéries.

Quelles sont les origines de l’intoxication alimentaire ?

On pense généralement que l’infection alimentaire n’est causée que lorsque l’aliment a été contaminé lors de sa préparation.
Toutefois, ce n’est pas toujours vrai. En vérité, la contamination de l’aliment par les agents pathogènes peut se faire avant, pendant ou après sa préparation. Il convient également de souligner que presque tous les aliments qui existent et que nous connaissons sont susceptibles d’être contaminés :

• Les aliments crus ou qui ne sont pas suffisamment cuits : œuf, viande crue, volaille, etc. ;
• Les fruits et légumes crus : s’ils n’ont pas bénéficié d’un bon lavage ou qu’ils ont été nettoyés par de l’eau contaminée, ils peuvent être infectés ;
• Les produits laitiers qui n’ont pas été pasteurisés ;
• Les aliments placés pendant longtemps hors du réfrigérateur ;
• Les poissons et les crevettes, etc.

La contamination des aliments se fait généralement de façon insidieuse et non remarquable. En effet, les aliments contaminés ne changent pas d’apparence et d’odeur. Dans la plupart des cas, ils conservent leur aspect, ce qui rend encore plus difficile l’identification des produits qui ont été infectés.

Si en hiver, le risque de contamination est réduit grâce à la température, en été, ce n’est pas le cas. Pour cause, plusieurs aliments affichent une grande sensibilité à la chaleur. Ils ne doivent pas être consommés sans avoir été refroidis. Pour ces aliments, lorsque la température est élevée, les bactéries peuvent rapidement se reproduire, et ce, en très grand nombre.

Quels sont les agents pathogènes responsables de l’intoxication alimentaire ?

Il est relativement difficile de définir avec précision un nombre d’agents pathogènes responsables de l’intoxication alimentaire.
En effet, ils sont nombreux. Qui plus est, ils peuvent facilement se cacher dans les aliments et ne pas être détectés aisément.
Néanmoins, il y en a quelques-uns qui sont très connus.

Le Campylobacter, un agent responsable de l’infection alimentaire

La bactérie Campylobacter jejuni fait partie de la famille des agents qui contribuent à l’infection alimentaire chez une personne, quel que soit son âge. En général, les troubles apparaissent après une incubation de 2 à 5 jours.
Cela dit, tout dépend de l’organisme de la personne contaminée. Le délai peut donc être rallongé en fonction du système immunitaire de cette dernière.

Les aliments susceptibles de contenir le Campylobacter jejuni sont surtout la viande (le poulet et le porc) et les produits laitiers. Lorsqu’ils ne sont pas bien cuits, les viandes peuvent être source d’infections alimentaires. L’eau peut aussi contenir cette bactérie lorsqu’elle est souillée. Enfin, il existe des cas de contamination suite à un contact entre une personne saine et un animal contaminé.

Le botulisme, la conséquence de l’intoxication par des toxines

Les toxines de la bactérie Clostridium botulinum peuvent contribuer à une infection appelée botulisme. Entre autres, elle se traduit par des troubles de la vision, la sécheresse de la bouche, la paralysie ainsi que les vomissements. Quoi qu’il en soit, les symptômes se remarquent généralement 12 à 36 heures après la consommation d’aliments contenant la bactérie.

Quels sont les aliments en cause dans le botulisme ? Nous pouvons citer les charcuteries non cuites, les poissons et les conserves faites maison. L’aliment contaminé entre dans l’organisme et c’est alors que la bactérie y développe ses toxines.

La listériose

La listériose est une infection bactérienne qui est due à la présence de Listeria monocytogenes dans un aliment. Les aliments qui sont généralement concernés sont les fromages au lait cru et les poissons fumés. Dans une certaine mesure, les produits de charcuterie à l’instar des pâtés, des rillettes ainsi que les produits en gelée peuvent être infectés sans qu’on s’en rende compte.

La bactérie Salmonella

La bactérie Salmonella peut être responsable d’intoxications alimentaires chez une personne. Les premiers symptômes apparaissent en moyenne 8 à 48 h après l’infection. Quels sont ces symptômes ? Ils sont nombreux : maux de tête, nausées, vomissements, fièvre, etc.

Pour ce qui est des aliments concernés, la bactérie Salmonella est polyvalente. Cela signifie qu’elle peut infecter plusieurs types de produits, dont les viandes, les volailles, les œufs, la charcuterie, les poissons et les fruits de mer. Cela arrive surtout lorsque les aliments sont consommés crus ou pas assez cuits.

Quels sont les symptômes de l’intoxication alimentaire ?

Les symptômes d’une intoxication alimentaire varient en fonction des organismes. Chez certaines personnes, la maladie due à l’infection peut être de forme aigüe, tandis que chez d’autres, les signes seront moins évidents. Dans la majorité des cas, le temps d’incubation est très court. L’intoxication se remarque entre une heure et quelques heures après la consommation de l’aliment contaminé.

Les douleurs abdominales

Les douleurs abdominales se caractérisent par de légères contractions au niveau de l’abdomen. Sans être forcément très aigües, ces contractions suscitent des douleurs. Malheureusement, aucun médicament ne parvient à les soulager lorsqu’elles sont dues à une infection alimentaire. Les douleurs abdominales sont persistantes et apparaissent généralement 24 h après la consommation du produit qui est infecté.

Les vomissements

Les vomissements sont un autre signe de l’intoxication alimentaire. Ils figurent d’ailleurs parmi les premiers symptômes que peuvent ressentir les personnes infectées. En réalité, le vomissement est plutôt une bonne chose. En effet, c’est un mécanisme de défense grâce auquel l’organisme peut rejeter l’agent pathogène à l’extérieur. Toutefois, les vomissements ne doivent pas être pris à la légère, car ils augmentent le niveau de fatigue générale. Pire, ils peuvent fragiliser l’organisme de la personne atteinte.

La diarrhée

La diarrhée est l’un des éléments les plus remarquables en cas d’intoxication alimentaire. Elle peut être particulièrement aigüe, lorsque l’intoxication est sévère. Comme le vomissement, la diarrhée est une réaction de l’organisme à la présence de bactéries dans le corps. La différence ici est qu’elle prouve que la bactérie se trouve dans l’intestin. Une infection intestinale peut être particulièrement difficile à traiter et peut nécessiter une intervention médicale. De ce fait, il est préférable d’éviter de l’avoir.

La fatigue

Après une dure journée de travail, il est tout à faire normal de ressentir de la fatigue. Il suffit alors de dormir pendant quelques heures pour retrouver son état normal. Mais dans le cas de l’intoxication alimentaire, le repos ne suffit pas toujours.

Pourquoi peut-on être fatigué en cas d’infection alimentaire ? C’est parce que l’organisme doit lutter contre une bactérie ou contre un virus. Il lui faut donc mobiliser beaucoup d’énergie pour mener à bien sa lutte. Qui plus est, la lutte peut s’étendre sur plusieurs jours. Or, plus la lutte dure, plus l’énergie à y consacrer devient considérable.

La fièvre

Lorsqu’un agent pathogène pénètre dans l’organisme, le système immunitaire doit enclencher une réaction dans le but de l’éliminer. Cet agent pathogène peut être un virus, un allergène ou un parasite. Quoi qu’il en soit, sa présence n’est pas la bienvenue. La lutte entre les défenses de l’organisme et l’agent pathogène se manifeste par l’apparition de la fièvre, l’augmentation de la température corporelle.

Les maux de tête

La fièvre peut s’accompagner de maux de tête. Ils apparaissent lorsque l’intoxication alimentaire est forte. La conséquence principale qui en découle est la déshydratation. Cependant, cette complication peut n’être que la partie émergée de l’iceberg. En effet, elle peut être suivie de problèmes encore plus graves : troubles visuels, difficultés respiratoires, problèmes de langage, etc. Dans certains cas, l’intoxication alimentaire peut même conduire à la méningite, surtout si c’est le Campylobacter qui en est responsable.

Les frissons

À proprement dit, les frissons ne sont pas une maladie de la peau. Ils peuvent apparaitre pour toutes les infections. Cependant, pour les maladies d’origine alimentaire, ils peuvent être encore plus importants. Lorsque l’infection alimentaire est grave, les frissons peuvent conduire à des lésions cutanées, ce qui peut être encore plus difficile à supporter par la personne qui en est victime.

La présence de sang dans les selles

En principe, quand on va aux toilettes, il ne doit pas y avoir du sang dans les selles. Mais ça, ce n’est qu’en principe ! En effet, lorsque l’organisme est infecté et qu’il s’agit d’une intoxication alimentaire, les selles deviennent teintées de la couleur rouge du sang. Ce symptôme s’accompagne souvent de celui de la fièvre et doit rapidement être traité pour éviter toute complication supplémentaire.

Les vertiges en cas d’intoxication grave

Les intoxications alimentaires qui sont graves se remarquent par des symptômes importants. Par exemple, elles s’accompagnent de vertiges. Le patient qui a une infection alimentaire ressent des malaises qui peuvent aller jusqu’à la perte de connaissance. Dans ce cas, il faut rapidement consulter un médecin. C’est important, car le professionnel de santé pourra recommander un mode de traitement pour faire disparaitre les vertiges le plus tôt possible.

Un changement au niveau du rythme cardiaque

Le rythme cardiaque peut changer en cas d’intoxication alimentaire. Le pouls peut être plus rapide (tachycardie) ou lent (bradycardie). En outre, des sueurs froides et une pâleur peuvent constituer le lot de malaises de la personne infectée. Pour toutes ces situations, il est indispensable de procéder à une hospitalisation immédiate.

Au vu des nombreux symptômes susmentionnés, on ne peut que dresser un sombre tableau pour l’intoxication alimentaire. Heureusement, ce n’est pas une fatalité ! Il existe une variété de solutions qui peuvent être mises en œuvre pour prévenir l’intoxication. Passons-les en revue.

Comment prévenir une intoxication alimentaire ?

La meilleure manière de lutter contre une maladie consiste à la prévenir. De cette façon, l’on prépare l’organisme à l’éventualité d’y faire face en cas d’infection. Et pour cela, diverses techniques peuvent être appliquées. La majorité de ces méthodes sont faciles à mettre en œuvre et ne nécessitent pas d’avoir des outils particuliers ou des connaissances précises. Les voici :

• Se laver les mains régulièrement lorsqu’on manipule de la nourriture, avant et après être allé aux toilettes : il est conseillé d’utiliser du savon, car le savon élimine les agents pathogènes qui pourraient s’être accrochés à vos mains ;
• Nettoyer les fruits et les légumes avec soin avant de les mettre au feu ou de les consommer ;
• Éviter de prendre des aliments crus, comme les volailles, les viandes et les œufs. Ajoutons à ce point qu’il faut éviter de consommer des aliments non pasteurisés comme le fromage de lait cru ;
• Pour le découpage de la viande et des légumes, nous vous recommandons d’utiliser des planches différentes. Avant chaque découpage, prenez soin de laver les planches et de les désinfecter ;
• Laisser les viandes bien cuire sur le feu avant de les retirer pour faire la cuisine ;
• Installer correctement tous les produits susceptibles d’être contaminés au réfrigérateur. Entre autres produits, nous pensons à la viande crue et au lait ;
• Les ustensiles et les plats qui sont entrés en contact avec de la viande crue doivent être bien nettoyés avant d’être utilisés ;
• Prendre soin de laver le comptoir de la cuisine avec une eau savonneuse pour faire disparaitre tous les microbes éventuels après la préparation des repas ;
• Prendre l’habitude de nettoyer les sacs réutilisables mis à profit pour acheter des produits à l’épicerie ;
• Respecter soigneusement les dates limites de consommation des produits ;
• Éviter de recongeler les aliments qui ont déjà été décongelés une fois ;
• Les produits qui peuvent être stockés au froid doivent l’être dans les conditions définies par les fabricants : vous devriez aussi vous assurer qu’ils sont installés dans le réfrigérateur dans la zone recommandée ;
• Tout produit qui présente un aspect inhabituel ou qui dégage une odeur inhabituelle à l’ouverture doit systématiquement être mis à la poubelle ;
• Lorsqu’une boîte de conserve est ouverte, il faut en transvaser le contenu dans un récipient non métallique : cette technique permet de conserver le contenu et de le mettre à l’abri des microbes ;
• Ne mélangez jamais des médicaments avec de l’alcool.

En dehors de ces conseils, nous vous suggérons de ne jamais mélanger plusieurs espèces végétales dans un même panier. Par exemple, si vous avez cueilli des champignons, évitez de les combiner avec d’autres espèces. En effet, les champignons vénéneux ont la capacité de contaminer les autres produits lorsqu’ils entrent en contact avec eux. Et si vous avez un doute sur une espèce précise, demandez conseil à un pharmacien.

Malheureusement, comme nous l’avons vu, les enfants ne sont pas à l’abri des effets de l’intoxication alimentaire. Pour cette raison, il convient de les surveiller lorsqu’ils sont placés dans un jardin ou un espace de plein air où se trouvent des arbustes à baies et des feuilles toxiques. Sans s’en rendre compte, ils pourraient consommer des champignons ou des bactéries.

Que faut-il faire en cas d’intoxication alimentaire ?

Même si l’on est prudent et qu’on prend toutes les précautions, il est possible que l’on soit victime d’une intoxication alimentaire.

• Lorsque cela survient, que faut-il faire ?

En général, les symptômes ne durent que quelques heures au mieux.
Ils n’excèdent pas trois jours.
Pour autant, il est possible d’appliquer quelques stratégies pour soulager les douleurs.

Prendre un antidouleur

S’il est vrai qu’il n’existe pas de remède précis pour soulager une intoxication alimentaire, il est néanmoins possible d’en amoindrir les douleurs en prenant un antidouleur.
L’antidouleur aide à réduire des douleurs spécifiques, comme les douleurs abdominales, les maux de tête ainsi que la fièvre si vous en avez. Bien entendu, il est indispensable de considérer la posologie définie et de suivre les recommandations du médecin.
Selon le cas, il pourra prescrire un antidiarrhéique ou un anti-vomitif.

Boire beaucoup d’eau pour éviter la déshydratation

En cas d’intoxication alimentaire, il est important de boire beaucoup d’eau.
Pour cause, la diarrhée et les vomissements peuvent provoquer une déshydratation.
En conséquence, votre organisme pourrait manquer d’eau. Idéalement, par petites gorgées fréquentes, buvez des liquides, comme le thé, le bouillon et l’eau.

Une fois que vous avez l’impression de retrouver des forces, prenez un aliment solide.
Cela permettra à votre tube digestif de retrouver son fonctionnement normal et de guérir plus rapidement. Nous vous recommandons cependant de privilégier les aliments légers. Au fil du temps, vous pourrez accroître graduellement la consistance des repas.
Voici quelques aliments que vous pourriez consommer : viande maigre, pâtes, riz blanc, banane, soupe, compote, biscotte, pomme de terre, etc.

Quand faut-il consulter un médecin après une intoxication alimentaire ?

Les symptômes d’une intoxication alimentaire disparaissent en général au bout de quelques heures. Selon les capacités de votre système immunitaire, le délai peut être revu à la hausse ou à la baisse.
Quoi qu’il en soit, si vous remarquez que les symptômes persistent après 24 h et que les vomissements continuent, vous devriez consulter un médecin le plus tôt possible.
Attention, pour certains symptômes, comme l’apparition de sang dans les selles, n’attendez pas avant de recourir à un professionnel de santé.

En conclusion, l’intoxication alimentaire se produit après la consommation d’aliments infectés par des bactéries.
Elle se traduit par plusieurs symptômes. Certains peuvent être bénins, tandis que d’autres méritent une attention particulière.
Dans tous les cas, n’hésitez pas à consulter un médecin.